Nous nous levons de bon matin (6h) pour prendre le train en direction de la campana, un parc national se trouvant entre l'océan Pacifique et les Andes, ça promet de belles vues. Nous passons le trajet avec notre équipement de randonnée (sacs, bâtons,..) au milieu des costards-cravates se rendant au boulot, au moins, personne ne nous serrera de trop près...
Une fois arrivés au parc, c'est parti pour quelques heures d'ascension, vu qu'on doit même passer de 400 mètres à 1900 mètres d'altitude, ça fait une bonne grimpette. Surtout que toute la partie finale est dans la caillasse, mais une fois arrivés en haut, le spectacle est génial. Vue à 360°, avec l'Aconcagua (plus haute montagne du monde en dehors de l'Himalaya, pas mal quand même !) visible à 100 kilomètres, plus d'autres sommets des Andes, le Pacifique au loin, quelques vallées par-ci par-là, bref, du grand art !
La descente casse-gueule ne fait pas plaisir aux cuisses de Marie, mais on arrive entiers en bas après 6 heures de randonnée, il n'y a plus qu'à prendre le train à l'heure où les costards-cravates reviennent du bureau, ils auront encore moins envie de se frotter qu'au matin ! On ne serait pas complets si l'on ne parlait pas du taxi collectif (taxi dans lequel on monte et on descend comme dans un bus, forts utilisés ici vu que ça n'est pas très cher) que l'on a pris, conduit par un beau Kéké répondant au doux surnom de "Johnny Bravo" écrit en grand sur son pare-brise...
Une fois arrivés au parc, c'est parti pour quelques heures d'ascension, vu qu'on doit même passer de 400 mètres à 1900 mètres d'altitude, ça fait une bonne grimpette. Surtout que toute la partie finale est dans la caillasse, mais une fois arrivés en haut, le spectacle est génial. Vue à 360°, avec l'Aconcagua (plus haute montagne du monde en dehors de l'Himalaya, pas mal quand même !) visible à 100 kilomètres, plus d'autres sommets des Andes, le Pacifique au loin, quelques vallées par-ci par-là, bref, du grand art !
La descente casse-gueule ne fait pas plaisir aux cuisses de Marie, mais on arrive entiers en bas après 6 heures de randonnée, il n'y a plus qu'à prendre le train à l'heure où les costards-cravates reviennent du bureau, ils auront encore moins envie de se frotter qu'au matin ! On ne serait pas complets si l'on ne parlait pas du taxi collectif (taxi dans lequel on monte et on descend comme dans un bus, forts utilisés ici vu que ça n'est pas très cher) que l'on a pris, conduit par un beau Kéké répondant au doux surnom de "Johnny Bravo" écrit en grand sur son pare-brise...
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